La cage n'est pas faite pour moi [ Arima Kuronushi ]

Je me souvient encore du jour ou la fourrière mavait attraper et en mener dans cette horrible animalerie. C était un beau jour de primtemps, un jour comme les autres. Un jour ou je me promener tranquillement dans le parc de ville. Se jour la était le dernier jour de liberté mais je l'ignorer encore. De toute l après midi les hommes de la fourrière était entraient de me chercher car aparament j était la derniere neko libre de la ville. Ceux qu ils ignoraient c'est que les neko rebels se trouvaient dans les endroits sombres et abandonner. Mais cela était un secret. J était tranquillement entraint de dormir sous un arbre en face d une fontaine. Tout d'un coup je sentais quel que chose de fin m'envoloper et me soulever. Je n avait guère envie de me réveiller. C s'est au moment ou j était enfermé dans la camionnette que je décida d ouvrirs mes yeux profondément fermer. J essellier d ouvrir la porte en la poussent de toute mes forces, mais rien n à faire la porte ne souvrais pas. Puis on m enmena à l animalerie. On m enferma dans une cage sale et humide. Je n avais qu une miche de pain et me me pas d eau pour me remplir le ventre. Je voyait que beau de neko voulait mourir car il en n avait marre ou alors ils mourraient de faim. Moi je n en pouvais plus. J était à bout de force, jusque au jour ou un jeune homme rentra dans l animalerie. Tout le monde avaient bien du mal à croire. Personne n osai entrée dans être boutique. Tout les neko devient d un coup existaient. Moi je restais calme, car je navais aucune chance de m'en sortir. Jusqu'au moment ou il s approche de moi.

(Désolé d'y répondre mais vu que tu m'as proposé d'être ton maître.)

Je marche dans la rue, non pas pour y déposer un hybride ou bien en tuer un, comme à chaque fois que je vien ici, mais en adopter une. Je regarde les hybride qui s'exite et lâche un sifflement dégoûter en les regardant, je m'approche de l'unique hybride qui garde son calme, une neko à en juger par ses oreilles et sa queue. Je la regarde, plutôt jolie malgrès la boue et la souillure sur ses piteux vêtements. Elle semble plutôt docile si on en vaut la peine et puis au pire, je la tuerais... Bon qu'importe, j'interpel le vendeur et désigne la neko sans même lui accorder un regard et murmurer d'une voie glaciale.

Combien..?

Le vendeur me regarde et se gratte derrière la tête, visiblement géné de la situation.

Et bien c'est à dire que... Heu... Elle est... Réservé.

Je soupire et sort mon flingue noir avant de le pointer vers lui, je lui dit alors sur le même ton que précédemment.

Tu à deux solution : Où tu me la vend bien gentiment et tout iras bien, où je prend un malin plaisir à étalé ta cervelle sur le tableau des ventes juste derrière ta face de porc ébrécher...

Le vendeur surpris et effrayé, me tend les clés de la cage en tremblant. Je souris et les pris en rangeant l'arme, puis lui jetta l'argent au visage en ouvrant la cage.

C'est bien, tu es raisonnable petit chien chien...

Comment un chasseur de neko ? Comment est ce possible qu'il vient ici ? Il veut une neko pour le plaisir de les tuer ? J'ai toujours du mal a croire qu'il vient ici pour une neko docile. Mes yeux rester fixer sur ses armes a feux et je pris peur au moment ou il les visa sur le vendeur. Le réflexe que j'ai pris était naturel. Je recula jusqu’à bout de ma cage tout en tremblant de peur. Je pris encore plus de peur quand je remarqua que la neko qu'il voulait était bien sur moi. Pourquoi?! Mes oreilles tomba sur mes cheveux et je pris un air de chien battu. Je regarde le chasseur avec pitié qu'il ne me tue.

Il ouvra la cage, pris de panique je recula jusqu’à me coller au fond de la cage et a cacher mes yeux dans mes bras. Je ne voulait pas le regarder dans les yeux, car j'avais trop peur de lui. Peut être qu'il était finalement gentil? J'ai du mal a croire qu'il le sera avec moi. Quoi qu'il en soit, si je voulait sortir il faut que je passe par la porte de cette cage. Puis je me posa une autre question : Si je ne sort pas est ce qu'il vas pointer sur flingue sur moi? Je commença a pleurer et a miauler doucement tout en cachent sa dans mes bras. J'était crisper de peur dans mon coin. Entendais-t-il que je pleurer? Je ne voulais souffrir alors je tourna mon visage contre la cage de peur qu'il ne me voit pleurer.

J'ai finalement ouvert la cage et prend soudain la neko pour la porter, non pas comme un sac où un autre truc du genre, mais comme une princesse, je défait alors ses chaînes et caresse ses oreilles puis ses cheuveux. Je dépose finalement mes lèvres contre les siennes puis je lui murmure en séparant nos lèvres au bout de quelques minutes.

N'ai pas peur.. Je n'ai pas l'intention de te faire du mal, ni même t'attacher dans un coin de ma demeure..

Je la regarde et lui offre un léger sourire rassurant, comme un homme sourit à son épouse en train d'accoucher, un sourire à peine visible, mais qui es pourtant bien présent sur mes lèvres. Un sourire franc et rassurant. Après quelques secondes, je la porte et sort de ce lieu d'horreur pour elle, au bout d'une dizaine de minutes de marche, je passe mes bras musclé autour de sa taille après l'avoir poser contre un arbre, debout, nous etions alors comme deux amants et non comme un maître et son esclave.

Je ne revenait toujours pas mes yeux. Il m'a prit dans ses bras comme une vraie poupée. Je le regarder dans les yeux et je sentie un instant ses lèvres au contact des miennes. Cela me fit rougir mais je ne dit pas un mot de plus. J'était asses surpris de sa réaction. Il déclara aussi qu'il n'aller pas me faire de mal. Je ne sais pas quoi dire alors je ne dit répond pas. Après avoir payer et sortie enfin de cette enfer insoutenable je marcher avec mon maitre pour aller en dessous d'un très grand arbre. Je senti une sensation bizzare venir en moi. Je ne savais pas ce que c'était mais j'aller très vite le deviner. Je me lessa faire toujours en le regardent dans les yeux. La question qui m’intriguer toujours sorti seule de ma bouche.

" Pourquoi un chasseur comme vous qui normalement doit arrêter les neko veut d'une neko pour lui? Avez vous besoin d'amour? De compation? D'une femme de ménage peut être... ? "

Sens plus attendre je me sortie mes griffes sens faire peur a mon nouveau maitre et gratta tout mon corps. Cela fessait des mois que je n'est pas était laver. Je ne voulait pas m'approcher de lui pour ne pas lui refiler mes puces et mon odeur qui sentait mauvais. Alors je baisa mes oreilles et regarde le sol avec un air triste.

Nous prendrons un bon bain en rantrant. Enfin c'est ce que je lui annonce en riant un peu, puis pour répondre à sa question, je lui répondit qu'une compagne me ferais en effet du bien et que j'avais un faible pour les nekos femelles. Puis je tendit les bras vers elle, en lui disant quelques mots.

Vu que nous prendrons un bain en rentrant, ne te gène pas. Je ne vais pas te manger ahahah

Je sourit alors une nouvelle fois, jamais de toute ma vie je n'est autant sourit, sauf peut être le jours où j'ai tuer l'homme responsable de cette cicatrice.

[Désoler j'était en vacance]

Je me sentit d'un coup toute heureuse. Peut être que se serai de l'affection? En tout cas je pense que je vais me plaire avec se maitre même si je ne suis pas très facile. Je le regarda avec un petit sourire au coin des lèvres qui montra une de mes dents pointues.

" Oui je suis vraiment contente de pouvoir faire un bain, car je suis vraiment sale et je ne sent pas très bon... Vous savez monsieur a l'animalerie on ne nous lavent jamais. Peut être quand c'est l'hiver pour que l'ont attrape froid mais en été quand il y a des canicules et autres jamais... "

Je commença a voir de moins en moins peur de lui. Ceci me fait le plus grand bien, bien que ses armes me font encore peur mais je pense que je vais mi habituer. Je vais devoir faire avec.