Est-ce un rêve prémonitoire?

Tout était noir et extrêmement sombre, j'était recroquevillé sur moi même, ma tête entre mes genoux et des larmes qui coulaient le long de mes joue. Mon souffle était bruyant et irrégulier, entre deux reniflements je séchais mes larmes du revers de la main et me leva. Perdu dans mon désespoir d'être seul, mes ailes pendaient et trainaient sur le sol comme les branches d'un arbre fatigué par le temps qui passe, mes bras ballant suivaient le rythme de mes pas dans un mouvement de balancier régulier. Tel un fantôme où une âmes en peine je déambulait sans but précis dans une étendu lugubre.

J'avais cessé de pleurer sans vraiment m'en rendre compte. Comment sus-je arrive là? Me demandai-je. Je ne me souviens de rien. Je marchais dans le vide, il n'y avait rien sur mon passage, pas une seul habitation, ni même un arbre. Rien ne recouvrait le sol, il n'y avait pas de ciel, ni d'étoiles. Je voyais mes mains, je me voyais, mais il n'y avait pas de lumière. Je n'apercevais pas la bué sortir de ma bouche malgré le froid qui me mordait ma peau si blanche. Je portais simplement un grand draps blanc sur mes épaules.

Un bruit de pas attira mon attention. Dans ce monde qui avait été si silencieux, cette marche rythmé paraissait assourdissante et irréel. Je me retourna en redressant mes ailes blanches dans mon dos, mais il n'y avait rien, juste se bruit. Puis, peut à peut une lumière naissante apparu, aussi blanche que la neige. Au fur et à mesure qu'elle grandissait, une silhouette se dessinait à l'intérieure, celle d'un humain. Il marchait dans ma direction, je ne distinguais pas son visage, je le voyait flou.

Puis tout le reste se passa si vite... Il était à côté de moi, une chaleur réconfortante émanait de lui. Dans un murmure il m'a dit qu'il me protégerait. Puis un cheval apparue, il me hissa sur son dos et le fit marcher à ses côtés, avant de disparaitre en même temps que le lumière. Je me retrouvais seule avec se cheval. Je lui demanda de rester vers moi mais il disparue entièrement en me faisant un signe de la main, ensuite ce fut au tour de l'animal. Et tout redevint si sombre, dans un sanglot étouffé je me réveilla en sursaut.

Il faisait encore nuit, et j'étais encore dans cette maudite cage. Je me mis à pleurer silencieusement. Et je me rendormis. Je me réveilla, frapper par la lumière qui rentrait dans ma cage. Le vendeur de la boutique souleva le draps qui recouvrait ma petite prison. Je le siffla dans mon cri de chouette des neiges et aussitôt j'aperçu à côté de cette homme immonde, un humain.

Derrière lui, la lumière aveuglante de la porte d'entré formait un contre jour qui m'empêcha de le voir en détaille. Mes pupilles se rétractèrent sous la lumière abondante. J'arrêta aussitôt de grogner et je remonta le tissus blanc qui me servais de robe jusqu'a mon coup tout en fixant l'inconnu qui me rappela soudain mon rêve si étrange.

" -Enfin j'y suis! Des heures que je cherche cette animalerie!"

Je rentrait dans l'animalerie assez froidement... Le vent fit souffler mon manteau, les feuilles mortes rentraient dans le hall d'entrée... Un vieille femme derrière l'établi cria:

"-Fermez cette porte! Je vais attrapé froid!"

Je restait planté là, dans le hall, la porte grande ouverte... La femme remarqua mon oeil blanc et mon bras rongé... Elle recula des quelques mètres, la peur venait en elle.

"-Un 'S'il-vous-plait' serait mieux. disait-je froidement en claquant la porte.
Je cherche un Hybride mada...

Elle me coupa net:

"-C'est pour quel sujet? Vous cherchez un Hybride travailleur? Sportif? Calme?

-Ce dont j'ai horreur, c'est qu'on me coupe la parole." rétorquait-je en sortant de mon dos mon couteau."

La vieille femme cria, et je planta le couteau dans l'établi, qui le traversa net. La femme se mit à pleurer... Je retira mon couteau, le remit dans mon dos et je prit le téléphone. Je lui arracha les fils pour évité qu'on appelle la Police...

Je passa derrière l’établi, passant froidement devant la femme en lui soufflant:

"-Un Hybride n'est pas un animal... Ayez du respect envers eux..."

J'ouvris la porte de l'arrière-boutique, et je découvris un couloir sombre, avec pour seul lumière une lampe dont lampe grésillait de fatigue... Je passait lentement devant chaque grille, contemplant les Hybrides... Tous dormaient, sauf un... Je m'approcha de la grille "brillante" et je découvrit cette petite Hybride... Je me baissa et murmura, avec un sourire qui voulait apaiser l'atmosphère:

"-Comment tu t'appelles?"

La vendeuse avait déjà allumé la camera de surveillance de la boutique principale et je pouvais tout suivre depuis l'arrière boutique depuis la télé accroché au mur.
Le vent s’engouffra dans l’animalerie en traînant avec lui quelque feuilles mortes et la vendeuse s’écria :

" Fermez cette porte ! Je vais attraper froid ! "

Ferme pas cette porte si elle pouvait crever pour cette vieille ça ferait des heureux. L’humain resta planté devant la porte quand elle recula terrifié par quelque chose que je ne voyais pas, l’intrus lui lança froidement:

"Un s’il vous plait serait mieux. "

Celui là à pas intérêt de s’approcher de moi, il à pas l’aire accueillant et … Il coupa mes pensées :

" -Je cherche un hybride mada…

-C’est pour quel sujet ? Vous cherchez un hybride travailleur ? Sportif ? Calme ?

-Ce dont j'ai horreur, c'est qu'on me coupe le parole"

Ca commence bien pour une fois. Je m'installa confortablement pour suivre leur dispute quand j'entendit un bruit sourd, l'humain avait sortit un couteau et l'avait planté brutalement dans la table sous les yeux terrorisés de la vendeuse qui n'en revenait toujours pas. Je me mis à rire dans mon coin. L'homme arracha le file du téléphone, sans doute pour qu'elle ne contacte pas la police. C'était sur il ne devait pas être habitué à venir dans une animalerie, les vendeurs on toujours un téléphone portable sur eux, ou même un deuxième fixe à l'étage, mais la bonne femme devait être trop apeuré pour s'en soucier, comme à son habitude elle appellera la police dès que l'humain sera sortit.

"Un hybride n'est pas un animal... Ayez du respect envers eux.."

Bah... techniquement si mon vieux, viens je vais te montré, pensai-je en riant quand il entra dans l'arrière boutique. Mes yeux quittèrent l'écran pour voir l'humain, et instinctivement je remonta le draps blanc qui me servait de vêtements. Il passa dans le couloir et nous examina un par un, voyant que j'étais la seule réveillé il vint vers moi. Je me rapprocha des barreaux, je trouvais bizarre qu'il ai la peau grise mais cela devait venir du peu de lumière, mais je trouvais quand même cela étrange car je voyait plutôt bien dans le noir. Il se pencha vers moi et me demanda:

"Comment tu t'appelle?"

Amusé par la scène précédente je décida de l'énervé encore un peu plus.

"Un bonjour serait mieux."

Lui lançai-je sur un ton moqueur en prenant soin de reculer un peut au cas ou sa réaction serait un peut violente.

Je regarda l'Hybride, qui venait de me répondre sèchement.

"-Tu ne manques pas de tact... J'aime bien. Mais tu sais, je ne suis pas du genre à me laisser marcher par le pied... Alors, on va reprendre depuis le début..." disait-je en sortant mon couteau...

L'Hybride, bien qu'elle fut dans une cage, montra ses crocs... Elle était près à se battre? Je la regarda, ses yeux envahit par la colère... Je me mis accroupi, en faisant attention à ne pas marcher sur mon manteau qui pourrait me faire tomber. Elle vit mon oeil blanc, mon bras... Je souriait toujours pour calmer l'atmosphère, et je murmura:

"-Bonjours. Je suis à la recherche d'un Hybride... Tu me plais. Tu as du tact... Comment tu t'appelles S'IL-TE-PLAIT" en insistant bien sur le "s'il-te-plait" vu comment elle m'avait répondu...

Je vit son bras droit en sang. Je regardait le mien.

Un point commun pensait-je.

"Tu ne manque pas de tact... J'aime bien. Mais tu sais, je ne suis pas du genre à me lasser marcher sur les pieds... Alors, on va reprendre depuis le début"

Je l'avais laissé parler sans intervenir, puis il sortit de nouveau son couteau ce qui m'irrita légèrement. L'humain s'accroupi, je le regardais, guetta le moindre mouvement et surveillait sa main au cas ou il tenterais de reprendre son couteau. C'est la que j'ai vu son bras, il était entièrement brulé. Voyant son bras comme de la nourriture potentiel je réussi à me contenir, et à ne pas me transformer en oiseau. Puis je vis ses yeux... Il en avait un orange et un blanc, je n'avais jamais vus ça de ma vie, pas avec des couleurs aussi choquantes.
L'humain me sourit et poursuivra:

"Bonjour, je suis à la recherche d'un hybride... Tu me plais. Tu as du tact... Comment tu t'appelle S'IL TE PLAIT"

Mais c'est qu'il à du répondant ^^. Je vis qu'il fixait mon bras et je remarqua à mon tour qu'il était en sang, je m'était sans doute fait ça la nuit comme toujours. J'essuya mon bras avec mon autre main et lui répondis:

"Je m'appelle Len't..."

Je m'approcha, m'appuya sur un barreaux avec mon bras blessé et colla mon visage contre les barres de métalliques et lui demanda en souriant:

"Et vous?"

Voyant son magnifique visage, j'eu de la pitié de voir une Hybride comme elle en cage... Je prit mon couteau, et coupa un morceau de chair de mon bras... Le sang coulait, mais qu'importe: les nerfs du bras sont morts, je ne sent rien...

Je lui répondit:

"-Je m'appelle Eiji Sangdeloup... Peut-être que tu connais ce nom... Il y a 10 ans, la demeure des "Sangdeloup brûla... C'est de là que je me suis blessé."

Elle regarda la chair que je venais d'arracher... Je lui déclara:

"-je sais que certains hybrides sont cannibales... Ça doit être la cas... Tu me plait de plus en plus..." disait-je en souriant.

Je rangea mon couteau tout en l’essuyant sur mon manteau en murmurant et en lui tendant la chair coupée:

"-Quel âge as-tu? Je t'en donnerai 13, voire 14... Mais je voudrais savoir ton véritable âge..."

Je pris soin de reculer lorsqu'il pris son couteau, il n'avait aucune raison de s'en prendre à moi, mais on ne sais jamais ce qui peut passé par la tête d'un humain. Il appliqua la lame de son couteau sur son bras brulé et en découpa un morceau. Stupéfaite je le tentais de ne pas le regarder. Il est malade de se faire ça, puis il me répondit:

"Je m'appelle Eiji Sangdeloup... peut être que tu connais ce nom... IL y a 10 ans, la demeure des "Sangdeloup" brûla... C'est de la que je me suis blessé."

Il continuait de se mutiler le bras et parvint à en arracher un morceau, mais qu'es-ce qu'il fait?

"Je sais que certains hybrides sont cannibales... Ca doit être le cas... Tu me plait de plus en plus..."

Il me regardais en souriant, il nettoya la lame de son couteau sur sa veste et il me tendis la chaire coupé que j'évita soigneusement de regarder:

"Quel âge as tu? Je t'en donnerai 13, voir 14... Mais je voudrais savoir ton véritable âge."

Je recula au fond de ma cage sentent que je ne tiendrais pas longtemps devant la chaire fraiche, ça faisait tellement longtemps que je mange uniquement de la nourriture pour chat... Retiens toi! tu va quand même pas manger un bout de l'humain qui va surement t'acheter...
Je me ressaisie et lui répondis:

" J'en ai 15..."

Je serrais les dents sentant mes ailes frémirent et jeta un œil à l'écran de vidéo surveillance:

"Elle va bientôt arriver pour réveillé les autres..."

"Elle va bientôt arriver pour réveillé les autres..."

A ces mots, je rangea le morceau de chair dans ma poche de manteau, et je m’avança vers la porte auquel je suis rentré. La vieille femme rentra, tremblante, et déclara en haletant:

"-Vous... Vous avez choisi? Vous vou... voulez voir les autres?"

Je m'approcha d'elle, et lui déclara froidement:

"-Vous ne voyez pas que je suis occupé? Puis-je faire connaissance avec cette petite?
-Len't? Ah... Elle est... différente... Je peux vous la laissé pour... 2 500 ¥?"

Je ne répondit rien... Elle alluma les autres lumières ce qui réveilla les autres Hybrides. Je les vis, tous triste, certain criant, tous étaient maigre, ils avaient tous faim... La femme vit le sang dans le couloir, et recula de frayeur... Les Hybrides, quand à eux, crièrent, tentèrent d'ouvrir leur cage, en vain... Ils avaient tous faim...

La femme, ayant de plus en plus peur, sanglota:

"-Je vous laisse Len't à... 1 500 ¥ d'accord? Mais partez s'il-vous-plait, par pitié! Je ne vais pas pouvoir les calmer!
-Votre vie ne coûte que 1 500 ¥?"

A ces mots, je sortie mon couteau et placa la lame sous la gorge de la vieille femme. Elle cria de frayeur, pleura, s'urina dessus tellement qu'elle avait peur... Les Hybrides criaient:

"-Butes-la!
-Vazy égorges là! Mais je réserves ses oreilles!
-Nan, c'est moi!
-Nan!"

Les Hybrides se chamaillaient pour savoir qui allait avoir quel morceau... Je ricanait à ce spectacle...

"-Pitié... murmura la femme.
-Vous n'en avait pas eu avec ces Hybrides, je n'en aurai pas pour vous."

A ces mots, je lui trancha la gorge. Le sang coulait le long de son corps, et tomba net sur le sol... Les Hybrides crièrent:

"-Ouais!!! Bien joué!
-Donnes moi ses oreilles!
-Nan, à moi!"

Ils se chamaillèrent de nouveau... J'essuya mon couteau sur mon manteau et je le rangea... Je me dirigea vers Len't, et je m’accroupis de nouveau... Elle me regarda, je sentait sa crainte... Je lui tendit mon morceau de chair, et lui souffla:

"-Manges, on a de la route à faire... Si tu as encore faim, il reste la vieille..."

L'humaine entra dans la pièce:

"-Vous... Vous avez choisi? Vous vou... voulez voir les autres?

-Vous ne voyez pas que je suis occupé? Répondit-il sèchement. Puis-je faire connaissance avec cette petite?

-Len't? Ah... Elle est... Différente... Je peux vous la laissé pour 2 500 ¥?"

La vendeuse alluma la lumière, laissant Eiji voir tous les autre hybrides de l'arrière boutique. Elle vit le sang dans le couloir et recula de trois pas, tendis que les hybride s'impatientaient.

"-Je vous laisse Len't à... 1 500 ¥ d'accord? Mais partez s'il vous plait, par pitié! Je ne vais pas pouvoir les calmer!

-Votre vie ne coûte que 1 500 ¥?

La pauvre femme sanglotai déjà assez, mais l'homme ressortit son couteau et plaça la lame sur le cou de vieille femme tremblante de peur. Les autres hybride devinrent complètement fou, ils se mirent tous à hurler:

"-Bute là!

-Va y égorge là! Mais réserves ses oreilles!

-Nan, c'est moi!

-Nan!"

--' c'est n'importe quoi, ils serait même pas capable de tuer quelqu'un, et encore moins de la manger...
Eiji se mis à rire, et la femme le supplia:

"-Pitié...

-Vous n'en avez pas eu avec ses hybrides, je n'en aurai pas pour vous."

L'humain, lui trancha froidement la gorge et la laissa tomber par terre, et les cris des Nekos reprirent de nouveau:

"-Ouais! Bien joué!

- Donnes moi ses oreilles!

-Nan, à moi!"

L'humain revint vers moi et me tendis de nouveau la chaire de son bras:

"-Mange, on a de la route à faire... Si tu as encore faim, il reste la vieille..."

Je restais au fond de ma cage perplexe. Il est malade se type?! Il pourrait au moins m'ouvrir ma cage, je pris ma forme animale et tenta d'ouvrir la serrure de la cage, je me retrouva la tête en bas pendu par une pattes, tendis que les griffes acéré de la seconde ouvraient cadenas. Je me remis de bout et m'ébroua, laissa quelques petite plumes en l'aire, et d'un coup de bec je retira le cadenas et sortit de ma cage en sautillant. Je fit reculer l'humain en agitant mes grandes ailes et j'entra dans une pièce à part, dans la quel je repris ma forme humaine et verrouilla la porte. Je restait assise, le dos appuyé contre le mur. En entendant du bruit dans la pièce d'ou je venait je dit:

"Surtout ne bouge pas et ne touche à rien!"

En espèrent qu'il m'ai entendu. Je me remis debout et alluma la lumière. La petite salle était emplie de vêtements, en hâte, j'enfila une jupe et un chemisier. Je ressortit en prenant soin d'éviter le regard de l'humain, je me pencha au dessus de son épaule et chuchota:

"-Pour info... je suis la seul du magasin à être cannibale..."

je récupéra le draps blanc dans ma cage et en déchira un morceau, que je noua autour du bras en sang d'Eiji, voyant qu'il allait parler je le devança et posa un doit sur ses lèvres:

"-chut... tait toi!"

Je donna à manger à tous les hybrides et Nekos du magasins, puis je fouilla les poches de la vendeuse et trouva son téléphone portable, je composa le numéro de la police et le laissa par terre. Ils allaient entendre les cris des hybride, et comme ils connaissent se numéro ils ne tarderont pas à arriver.
J'attrapa le bras d'Eiji et le tira hors de la boutique.

Len't me tira hors de la boutique. Je vis la portable appelant la police, mais qu'importe, j'avais l'Hybride qui me fallait... Le vent soufflait de plus en plus, et l'orage venait de tomber... Voyant que Len't avait froid, je retira mon manteau et le déposa sur ses épaules... Elle me regarda, avec un air incertain, puis murmura:

"-Merci..."

On marchait le long de la rue, avant d'entendre au loin les sirènes de Police. On pressa le pas, puis on se cacha dans une ruelle juste avant que les voitures passent..

Je lui déclara:

"-Pourquoi les as-tu appelé?"

Elle ne répondit rien... J'attendait une réponse mais elle ne bougea pas... Je lui déclara:

"-Ces vêtements sont pas assez épais... Malgré mon manteau, tu vas attraper froid..."

Elle grelottait... Je repris:

"-On veux-tu aller? Je t'ai libéré, mais je ne suis pas un Maître tyrannique.. Au contraire, je vais prendre soin de toi, si tu l'accepte..."

Il faisait plutôt froid dehors, Eiji me prêta son manteau, j'hésita à le garder, mais je le laissa faire et lui remercia par un simple merci, même si ça ne me faisait pas vraiment plaisir. Nous marchons dans la rue, son manteau commençait à m'énervé, il glissait tout le temps à cause de mes ailes.
Les sirène de police retentir, nous nous sommes caché dans une ruelle le temps qu'elles passent, puis l'humain me demanda:

"-Pourquoi tu les as-tu appelé?"

Et toi pourquoi tu l'a tué hein? Ce n'est pas elle qui nous à enfermé...

"-Ces vêtements ne sont pas assez épais... Malgré mon manteau tu va attraper froid. Ou veux-tu aller? Je t'ai libéré, mais je ne suis pas un maître tyrannique... Au contraire, je vais prendre soin de toi, si tu l'accepte..."

Je replaça une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et lui répondit en souriant:

"Techniquement je me suis libéré toute seule."

Je retira son manteau taché de sang et lui rendis:

"Merci mais je n'ai pas froid"

Je ressortis de la ruelle, un vent froid agita les plumes de mes ailes. Je les écartaient et me mis face au vent tout en regardant le ciel, pensive:

"Va ou tu veut je te suis..."