Une soirée bien desagréable.. [PV Trine]

Comme à l'acoutumer, je m'ennuiyais. Ces soirées à faire la fête ne me rendais plus joyeux et me deprimais plus qu'autre chose, et même si mes « amis » de breuvrie s'amusaient, moi, j'étouffais. Sans être prétentieux, c'est dur d'avoir mon physique, entre les filles qui sont trop timides pour me parler et qui me suivent à la trace sans cesse et les espèces de pétasses qui n'essperaient que coucher avec moi, j'en aavait plus que marre. Il est vrai que je suis en mal d'amour en ce moment, aucune fille ne m'interesse, et je n'ai jamais réellement connu le grand amour, c'est triste mais bon... L'air était chargée d'electricité et le bruit était infernal entre la music de mauvais goût et les cris des abrutis qui s'agites autour de moi. Une fille à déjà voulue m'inviter à danser mais ça ne m'a pas interesser, une autre un peut trop soûl à insister pour que je l'accompagne dans les toilettes et je lui ai répondu à la négatif avant d'avoir un frisson désagréable dans le dos, quel horreur ! En plus, je ne voit aucune raison de mettre convenablement habillé, une chemise noir un peut ouverte avec ma croix d'or autour du coup et un bon vieux jeans ainsi qu'une pair de chaussure vernis. Je me suis coiffé un peut en bataille, normal. J'ai oublié de dire que mes cheveux son noir de jai et mi long, mes yeux son plutôt foncés également, mi clos. Bien sûr, de mes 1m80, j'ai pas l'air fin au milieu de tout ce monde qui danse, je prefère donc aller m'asseoir sur un canapé (Soirée bourgeoise exige) et j'adopte une position décontractée avant de scruter d'un regard agacé les demoiselles qui essayaient de me montrer leur corps par quelques pas de danse mal trouvés. Je leur fait rapidement mine que je n'y accorde aucune importance, elle finiront bien par partir ! Si seulement il pouvait y avoir un quelcquonque miracle pour me sortir de cet enfer...

A la maison, l'ambiance était bien tendue. Ma mère critiquait encore ma façon de me comporter et d'être, mais comment pourrais je être quelqu'un que je ne suis pas et vivre normalement ? La question restait stupide, évidement, mais ma très chère mère ne se la posait jamais. Agacée, je decida de monter dans ma chambre, travailler restait le mieux à faire pour le moment, de plus, je n'étais guère brillante au lycée, ça ne me fera donc aucun mal ! Et alors que j'allais ouvrir ma porte de chambre, ma mère m'interpelle une seconde fois en me hurlant de ranger ma "piaul" comme elle le dit si bien. C'est la goûte d'eau de trop. je me dirigea vers le sous sol, pris mon manteau et partie en claquant la porte. Si je suis plus à la maison, elle se calmera, enfin c'est ce que j'espère.
L'air est très frais dans la rue, la nuit est tombée et les lampadaire commence à s'allumer. Malgré l'atmosphère sinistre, je me sent bien et detendue, pour une fois ! Entre mon lycée que je deteste avec mes camarades de classes stupides et ma mère qui me pompe l'air, je ne sais plus où donner de la tête !
Tient ? De la musique ? Une soirée ? Je marchais, hésitante, vers cette source de bruit et je me retrouva bientôt devant le night club. Pourquoi ne pas aller y faire un tour ? Je n'ai rien à perdre de toute manière.. Mes pieds commencèrent donc à entrer dans cette espèce de salle de dance mais ma tête était toujours perdue dans mes pensées. Je fit qulque pas en essayant d'eviter que lon me marche sur les pieds, commençant à regretter d'être entrer jusqu'au moment ou j'apperçue un visage familier...
Et en effet, il s'agissait de dokkyo ! Il est actuellement dans ma classe et je sais très bien que c'est le genre de garçon fetard, qui fume et qui esssaye de se donner un style.. stupide serait un synonyme. Mais je sais très bien que si j'insiste à le trouver idiot et plein de default c'est parcequ'il me plaît un peut tout de même, et c'est bien ça mon problème !
Et maintenant, je ne peut pas m'empêcher de le regarder, assis sur ce canapé, à quelques mètre de moi..