Où tu loges toi ? {PV Aya}

AYA. « « Tu devrais venir avant de continuer à parler, tu ne va pas rester pratiquement nue dans la rue ? » »

RUBIS. « Aya... C'est magnifique chez toi ! » »

RUBIS. « Si cela ne t'embête pas, je pourrai t'emprunter des vêtements s'il te plaît Aya ? Je t'avoue que j'ai un peu froid.. »

[Post court : désolée ><]

Invité

Enfin arriver ! Pas trop tôt... cette matinée était bien trop agitée à mon goût. Entrant dans mon appartement, j'observais amusée, Rubis, qui paraissait fascinée par mon modeste logement....

« Aya... C'est magnifique chez toi ! »

Je fini par rougir légèrement, ce petit compliment me plaisa énormément, c'était la première fois que l'on me disait ça....
Mais il fallait que j'organise tout pour que Rubis se sente chez elle ! Je commença d'abord par aller à la cuisine pour nourrir Laz qui n'avait rien mangé depuis ce matin. Mais il était trop occupé à s'amuser avec sa nouvelle amie.... Je rigola discrètement.

« Si cela ne t'embête pas, je pourrai t'emprunter des vêtements s'il te plaît Aya ? Je t'avoue que j'ai un peu froid.. »

Il y eu un gros silence, je la regardais avec des yeux naïfs.

« Oh mais oui ! Je suis désoler , j'avais oubliée ! Va dans ma chambre, c'est la pièce du fond. Tu trouvera un placard avec des photographie dessus, c'est celui ou je case mes vêtements... choisie se que tu veux ! »

Je termina ma petite phrase avec un petit sourir, puis Rubis se dirigea vers ma chambre.
Laz commença à manger en ronronnant. Il était content....
Quant à moi, je préparais un petit quelque chose à manger et à boire pour ma protégée, elle devait avoir faim après cette dur vie passée en cage...
Et, ne sachant pas se qui lui plairait, je sortie le gâteau à la fraise que j'avais fait la veille et dressa une part sur une assiette accompagnée de deux carré de chocolat. Je servie également une tasse de lait que Laz s'empressa de venir se faire une tentative pour y tremper un peut sa langue.

« Non laz ! Ce n'est pas pour toi ! C'est pour.... »

Je n'eu pas le temps de finir ma phrase que la sonnerie de la porte me fit sursauter. Je déposa le déjeuner à l’habrit du goinfre félin et me dirigea vers la porte avant de l'ouvrir....
En voyant la personne qui se tenait sur mon palier, mon sourir s'évapora...

« Dimitri... » Soupirais-je.

« Salut ma belle ! Alors la forme en ce moment ? »

Je ne répondis pas, je fixait seulement se brun au yeux vert avec une légère envie de vomir... Peut être était il beau, musclé et grand, il me dégoutait plus qu'autre chose.

« Qu'est ce que tu veut ? Je suis occupée ... »

« Je ne crois pas que tu soit en position de me jeter dehors petite peste. Ton loyer, tu y a penser ? »

Je fit les gros yeux, sait vrai, je ne l'avait pas payer depuis deux mois déjà...Mais je n'avait pas beaucoup d'argent, je ne pouvais pas faire autrement !
Mais Dimitri...c'était lui le propriétaire de l'immeuble....

« Euh...je...je payerais bientôt promis... ». Je rougis.

« Désoler ma biche. Sa va bientôt faire trois mois, tu me doit un dédommagement... » Un sourir sadique apparu sur son visage.

« Un dédommagement ?! Je n'ai rien à te rendre ! Je n'ai jamais répondue à ta séduction stupide ! Alors maintenant lâche moi ! »

Je refermie violemment la porte, mais il l'a retint avec son bras, entra et me saisit le poignet fermement.

« Tu n'es pas en position de refuser...Laisse toi faire, sa va aller vite... »

Malheureusement, Dimitri pratiquait aussi des sports de combats, et il était plutôt bon dans se domaine...
Il m'allongea de force sur mon divan et s'allongea sur moi.

« Ça fait longtemps que j’attends ça... »

« Lâche moi ! »

Je hurla si fort que ma voix résonna dans l 'appartement. Laz s'enfuit, impuissant, pour se diriger dans ma chambre. Et je pensa soudainement à Rubis.

« Allez, commençons ! » Me souffla t'il.

Je le regardais avec hargne et colère...impuissante...

« …. »

AYA. « Euh...je...je payerais bientôt promis... »

DIMITRI. « Désoler ma biche. Sa va bientôt faire trois mois, tu me doit un dédommagement... »

AYA. « Lâche moi ! »

DIMITRI. « Allez, commençons ! »

RUBIS. « Colle ta paume contre la mienne et laisse s'établir le lien, c'est une unique chance.. »

Invité

Dimitri m'était tout son poid sur mon corps, je ne pouvais plus bouger. Mais le fardeaux s’allégea étrangement la seconde qui suivait.
Je regardais quelle était la raison de se changement soudain de situation.

« Rubis !! » Dit-je en souriant.

Elle était venue m'aider, et j’étais ravie qu'elle l'avait fait. Elle lui avait mordue méchamment le bras se qu'il lui fit faire quelque gémissement plaintif.

« Colle ta paume contre la mienne et laisse s'établir le lien, c'est une unique chance.. »

Je ne comprenais pas. Que voulais t'elle que je face ?
Mais, comme si ma main était devenue aimant et mon cœur le sien, je rapprocha sans m'en rendre conte ma paume de la sienne.

« Co...comme ça ? »

Ensuite, un souffle puissant me soulevant l'âme, un flux chaud parcourant mon cœur.... C'était inexplicable, à la fois agréable mais douloureux, fascinant et effrayant. Je me senti légère, forte et liée par quelque chose d'invisible, par Rubis....
La jeune néko disparue, comme évaporé par le flux de chaleur que je ressentais. Mais quelque chose de nouveau fit son apparition....si léger que je ne m'en était pas aperçue sur le moment....
Deux katanas se tenaient dans chacune de mes mains, je les saisissait naturellement, sans complexe, ils étaient si léger....
Mais la situation dans laquelle j’étais avec Rubis me revint rapidement. Je me retourna vers Dimitri, ayant du mal à croire se qui venait de se produire.
Lui lançant un regard de mort, je me mis en garde et le menaça :

« Va t'en Dimitri, sinon je ferais en sorte que tu ne puisse plus avoir de rapport avec personne ! »

Il regarda furtivement son entre-jambe et déguerpie par le suite en courant.
Je souffla un grand coup, rassurée. Puis je posa un regard doux sur les deux sabres.

« Rubis...c'est toi qui a fait ça ? Qui est tu au juste ? »

♠. Je n'avais suivi que mon instinct, et de tout mon coeur je voulais sauver Aya. Tout au fond de moi je savais. Je savais qu'un simple contact paume contre paume unirai nos âmes, et les lieraient pour toujours, où du moins jusqu'à la mort d'une de nous deux. N'ayant pas réfléchi, je ne voulais que le bonheur d'Aya, mais, depuis que Dimitri était parti, je me sentais coupable.
Bien que je sois dans ma forme de Weapon's à proprement parler, j'avais déjà par le passé subit des entraînements, plus ou moins durs, et j'en avais acquit une grande autonomie. Même si le lien était plus fort avec mon nouveau Master actuel, j'en conservais mon endurance. Les lames des deux katana se ternir un peu quand un sentiment de culpabilité m'envahi, c'était une sorte de rougissement de Weapon's, un des signes que tous les Masters doivent apprendre, et réciproquement pour leur compagnons. J'entendis alors la voix d'Aya, qui me ramena à la réalité dans l'appartement.

AYA. « Rubis...c'est toi qui a fait ça ? Qui est tu au juste ? »

Je ne pouvais endurer cela plus longtemps, et je me démétamorphosais devant elle, la tête un peu basse. Je m'assis sur un bout du canapé qui était là, et fit signe à Aya de faire de même. Je restais quelques temps dans mes pensées, quand mon regard dévia sur le jean que je lui avais emprunté, me rappellant aussi que je n'avais pas de haut. Haussant les épaules, je tournais mes yeux vers celle de l'humaine.
Prenant une grande inspiration, je débitais d'un trait :

RUBIS. « Excuse moi Aya.. Tu m'a donné ta confiance et je l'ai gâchée. Je ne suis qu'une Weapon's Neko, un double hybride, qui en plus d'être mi humain, et aussi mi arme. Ils ne peuvent se lier qu'à une catégorie précise d'humain; les Masters. Et quand leurs deux âmes sont liées, le Master peut invoquer en quelques sortes, son Weapon's sous forme d'arme. C'est ce qui vient de se produire. Je m'excuse encore pour ma conduite lamentable, nous sommes liées toutes deux par notre âme, c'est un lien indestructible, jusqu'à ce que la mort le révoque. Je suppose que tu m'en voudra de t'avoir imposé cela... »

Baissant mes oreilles, elles se collèrent sur mon crâne de tristesse. Seuls les petits bruits de pas, étouffés par le revêtement du sol, de Laz, me sortirent un peu de ma rêverie. J’espérais beaucoup qu'Aya ne m'en voudrai pas ! Je l'aimais déjà beaucoup, même si je ne la connaissais que peu. Elle m'avait sauvée de l'animalerie, et j'avais voulu aussi la sauver à mon tour, même si je l'avais engagée complètement dans la guerre.
Je lui lançais un sourire triste pendant qu'elle réfléchissait. Laz sauta sur mes genoux, et après quelques moments à tourner sur lui-même, il se laissa retomber mollement sur mes cuisses. Roulé en boule, je le caressais un peu, et il se mit à ronronner.

♠. Quelques gouttes de pluie frappèrent au carreau, des nuages s'amoncelaient dans le ciel, et le soleil avait disparu.
Si son chat n'avait pas prit place sur mes genoux, j'aurai déjà pris mes jambes à mon cou. La porte était encore ouverte, et on entendait les bruits de pas précipité du dénommé Dimitri. Je rigolais intérieurement de son malheur, et je me promis que si je le revoyais, je n'attendrai pas qu'il agresse de nouveau ma belle maîtresse pour lui couper ce qu'il avait dans l'entrejambe.

Invité

J'avais peine à l'écouter et en même temps à croire se qui venait de m'arriver, c'était si intense et soudain....
Mais comment lui en vouloir ? C'était plutôt merveilleux !!

« Ne t'inquiète pas Rubis, je trouve ça fabuleux !! C'était impressionnant, et si spécial en même temps.... »

Je lui souri gentiment pour lui faire mine de ne pas s'inquiéter.

« En revanche toi, tu devrait aller te couvrir d'un haut si tu ne veut pas attraper froid »

Elle rougie simplement puis alla en vitesse s'en dégoter un. Quant à moi, je me dririgea vers la porte d'entrée pour la refermé, mais mon sourir enfantin disparue soudainement.... je sais qu'il y aura des représailles, mais je n'avais pas de quoi payer...

Le miaulement de Laz me sortie de mes penser. Je regarda le petit être à la frimousse en activitée :

« Va donc rejoindre Rubis pour voir si tout va bien. »

Le chat couru à toute patte vers la chambre, moi, je rassembla le casse-croûte de Rubis pour le mettre sur la table de la cuisine avec les verres de lait encore frais.
Je fixa tristement la toile qui me posait tant de mal à terminer, puis je pensa à mon projet, je devais absolument le finir prochainement.
C'est vrai après tout, maintenant, je sait se que je peut faire ! Le sourir me revint aussi vite qu'il était partie. Je saisie une feuille blanche et un crayon à papier et commença à dessiner se qui me venait au plus profond de mon âme.... Rubis me fit sursauter à surgir dans la cuisine, je la regarda minutieusement continuant à gratter mon crayon sur la feuille qui prennait vie....
Puis je lui souri timidement...

« Je t'ai servie de quoi manger sur la table ! Régale toi ! » lui dit-je en souriant.

♠. La cuisine était aussi géniale que le reste de l'appartement. J'y pénétrai doucement, et sans le faire exprès j'avais surpris Aya, mais cela était de même pour tous les humains : les pas de chat étant souples, ils ne les entendaient pas. Je lui souris puis en la regardant elle me dit :

AYA. « Je t'ai servie de quoi manger sur la table ! Régale toi ! »

RUBIS. « Merci beaucoup Aya, j'avais vraiment très faim, et merci pour tes vêtements ! »

Une curieuse sensation s'empara de moi, et je pensais bien que c'était celle du bonheur. De toute ma vie, le bonheur, je ne l'avais pas beaucoup touché, parfois effleuré du doigt, mais jamais comme ici, pris à pleine de main. Je mangeais à peu près tout ce qu'elle avait mit sur la table. Si j'avais été un chat à part entière, j'aurai sûrement ronronné, comme le faisait Laz en ce moment. Ce chat était aussi mignon que sa maîtresse !
Je regardais Aya s'affairer sur sa feuille, et je la regardais faire, tout en souriant. Mon sourire me surpris, cela ne m'arrivais jamais. Un peu inquiète de ma santé mentale, mes yeux continuèrent de la fixer doucement. Elle était encore plus belle concentré avec son crayon à la main. Quand elle s'arrêta et me regarda à son tour, je lui souriais puis je me levais de la table.

♠. J'avais un peu envie de découvrir l'appartement en entier, même si j'en avais déjà vu la plus part depuis mon arrivée. Après avoir demandé la permission a mon Master, je m'éloignais un peu, suivit de Laz. J'étais un peu surprise que son petit chat me suive, mais après tout entre chat, on se comprenait ! Quelques minutes plus tard, je revins à la table, et d'un geste machinal, je mis tout ce qui était sale sur la table dans le petit évier en aluminium. Devant le regard interrogateur d'Aya, je me justifiais rapidement :

RUBIS. « C'est l'habitude. Quand le marchand à l'animalerie nous choisissait le soir, nous devions lui préparer à manger, mais sans rien toucher. Ensuite, nous débarrassions, et c'est pour ça que je l'ai fait machinalement ici. Mais le pire était après... nous devenions ses... ses jouets... »

Ma voix se brisa à la fin de la phrase, et m'assis rapidement à une chaise pour ne pas m'affaler par terre, car à ce moment là, je me sentais si faible en repensant à tous ces mauvais souvenirs. J'en avais gagné certaines de mes cicatrices dans le dos, lorsqu'il n'était pas content de mes "performances". Je pensais encore à ses horribles mains poilues qui se baladaient sur moi, et je faillis en vomir de dégoût, mais je me retenu de justesse. Voulant me rattraper, je lançais un sourire peu convainquant à Aya.

Invité

Je la regardais partir, mon crayon en harmonie avec ma tête et mes pensées.... Et enfin, j'avais fini. Un sourir glorieux se dessina sur mes lèvres, ignorant presque Rubis qui était revenue et qui, à ma plus grande surprise débarrassais son couvert.

« C'est l'habitude. Quand le marchand à l'animalerie nous choisissait le soir, nous devions lui préparer à manger, mais sans rien toucher. Ensuite, nous débarrassions, et c'est pour ça que je l'ai fait machinalement ici. Mais le pire était après... nous devenions ses... ses jouets... »

Je la regarda, anéantie, mais je ne savais pas quoi faire, je n'était pas très douée pour remonter le moral aux gens... Alors, je décida plutôt de m'approcher d'elle et de déposer un tendre baiser sur sa petite joue, et de lui dire par la suite :

"Tu n'a plus à t'inquiétée, dit toi que ton ancienne vie est morte aujourd'hui, et maintenant tu n'a plus qu'à renaître !"

Je lui lança un regard plein d'espoir à travers ces yeux vitreux et je lui souri, amusée moi même par ma performance.
Bon, il était temps de la laver et de se détendre un peut, mais avant de prendre un bain, je voulais l'emmener dans une pièce secrète qui n'appartenais qu'à moi, mais que je voulais lui faire découvrir....
Je la saisir doucement par le poignet pour l'emmener au fond de l'appartement. J’ouvris la porte au ralentie pour qu'elle puisse avoir le temps de découvrir mon atelier ....
Les vitres étaient colorées, se qui mettait des couleurs chaude dans la pièce....Mon bureau était recouvert de mes desseins les plus réussit, des photographie et des tableaux se mélangeait au mur, et surtout, mes poupée reposait sur une étagère, les plus réussit les unes que les autres....
Une musique douce résonnait dans la pièce, et mon trésor le plus fabuleux était sur mon bureau, ou une photographie de moi et mon père se tenait dans un cadre en acier....
à côté était disposée une poupée, la seule et unique qu'il ne m'ai jamais fait ....

Je la laissa découvrir mon petit monde pendant que j'allais préparer le bain et les serviettes.

"Rubis ! Je vais dans la salle de bain préparer nos serviettes, je te laisse avec Laz, il va te montrer mes plus grand trésors."

Puis je partie furtivement, le dessein représentatif de Rubis à la main, parfaitement réussi....

♠. J'avais suivis Aya d'un pas machinal, me laissant porter par sa poigne. Je me demandais bien où nous pouvions aller comme ça, car je pensais avoir déjà vu tout l'appartement en entier. La porte s'ouvrit doucement, et tout ce que je vis de mes yeux m'éblouis, comme le soleil en été. La pièce était baignée dans des couleurs chaudes, et il y régnait une ambiance chaleureuse. Il y avait là énormément de choses : dessins, peintures, tableaux, photographies, quelques esquisses aussi ! C'était encore mieux qu'un musée, une sorte de petite galerie d'art à domicile ! Je souriais, en pensant que j'avais alors trouvé là une superbe Master.
Je laissais mes yeux se balader sur tout ce joli monde de couleurs et de dessins, quand Aya me dit d'une voix douce :

AYA. « Rubis ! Je vais dans la salle de bain préparer nos serviettes, je te laisse avec Laz, il va te montrer mes plus grand trésors. »

Je hochais la tête pendant qu'elle s'éloignait, et je m'avançais prudemment dans son atelier. La musique me détendais, et je me sentis presque d'humeur joyeuse, pour peu je me serais mise à chanter. Le petit chat avança d'un air de conquérant au travers toute la pièce, puis vint se percher sur la chaise et sauta souplement sur le bureau. Amusée, je m’approchais.

♠. Je regardais une photo, où il y avait une fille. C'était sûrement Aya, mais je ne savais pas qui était l'homme avec elle. Beaucoup de poupées étaient disposées un peu partout, et je les regardaient toutes avec le même intérêt. Les tableaux m'emplir de bonheur, et Laz se posta devant un, qui représentait une rivière au bord d'une maison. Je le regardais attentivement, et je su immédiatement pourquoi je le préférai aux autres : Cette impression de réussite et d'harmonie se dégageait parfaitement de son art.
Impressionnée, je ressortis après une bonne dizaine de minutes, et je refermais doucement la porte, tout en suivant Laz sur le chemin de la salle de bain. La porte était entre-ouverte, et j'entrais. Je regardais Aya avec les serviettes et lui dit :

RUBIS. « Tu es mon artiste préférée, c'est vraiment très beau tout ton atelier ! »

Je me retournais et enchaînais avec un sourire :

RUBIS. « Et comment fait-on pour la salle de bain ? »

Invité

Je rougis par le délicat compliment de ma protégée. Je préparais deux serviettes, et j’ouvris le robinet au maximum pour écouler une eau brûlante et agréablement parfumée... Il faut dire que ma baignoire était assez vaste ! 1m60 sur 2m50 ! Et oui, j'adorait les bains !

« Et comment fait-on pour la salle de bain ? »

Je la regarda, ne sachant quoi répondre ...

"euh ....cela te dérange qu'on le prenne à deux ? Tu n'aura qu'a garder ta serviette sur toi si ça te gène ! Je vais t'en chercher une autre propre !"

Je galopa d'un coin à l'autre de mon appartement pour aller chercher de quoi sécher Rubis, je chantonnait gaîment, un sourir prospère sur mes lèvres...
Après, il faudra que je prépare le déjeuner ! Qu'est ce que je pourrais lui faire à manger ? ...
Mais pas le temps au question pour l'instant, je voulais absolument ma baigner. Je trottina de nouveau ver la salle de bain ou j'apperçue Laz et Rubis qui regardait l'eau monter. Et évidemment, Laz essayait d’attraper les bulles qui s'échappaient de la baignoire.
Un petit rire amusé sortie spontanément et je jeta un regard à Rubis en attente d'une réponse à ma dernière question....

(Désoler pour le peut que j'ai écrit ^^")

♠. Je n'avais pas eu le temps de lui répondre, qu'Aya était déjà partie, et je dus attendre son prompt retour dans la salle de bain. Je m'étais mise à côté de Laz, qui s'amusait avec des bulles. Quand à moi, je regardais l'eau avec envie, car pour moi... il y avait longtemps que je n'avais pas prit un bon bain dans une aussi belle baignoire ! Le parfum du savon se répandait dans mes narines, et me détendais considérablement. Tout en souriant, je répondit à ma nouvelle Master :

RUBIS. « Non ça ne me dérange pas du tout, je demandais pour surtout pour toi, je ne veux déranger personne ! »

Je regardais encore le niveau de l'eau monter en de grands tourbillons d'eau tiède. La salle de bain était en accord avec le reste de son appartement, et même si je n'aimais pas particulièrement prendre des bains, je n'avais qu'une envie en ce moment : sauter dans la baignoire et profiter de cette eau odorante qui continuait de me chatouiller les narines.

♠. Cependant, je restais quand même intriguée par la taille immense de sa baignoire, et je me permis de lui poser directement la question pendant que j'enlevais les vêtements que m'avaient prêté Aya... et que je n'avais porté que quelques minutes en fin de compte.

RUBIS. « Aya, pourquoi as tu une si grande baignoire ?! »

J'attendais sa réponse en terminant de me déshabiller. J'avais posé toutes mes affaires dans un coin de la salle de bain, pliées soigneusement. Je revenais vers la belle humaine quand je faillis déraper sur un carreau de carrelage mouillé. Rougissant de honte, je me rattrapais de peu au bords de la baignoire, repliée sur mes genoux.

Invité

Je la ragardait avec un très grand sourir, elle était trop mignone avec un air étonnée ! Elle s'avanca vers moi en ne manquant pas de déraper à cause du sol glissant.
Je lachâ un petit rire avant de déraper moi même sur le carlage et de tomber sur mes fesses. C'est vrai que j'étais lente, j'avais encore mon jean et mon soutient george.

"Aïe ! sa fait super mal !"

Je me releva doucement en massant energiquement le bas de mon dos comme pour évacuer la doulheur.

"Et pour répondre à ta question... *aïe* j'adore prendre des bains moussants" Fit je en souriant bêtement.

Je la regardait doucement, comme pour essayer de la rassurer et la rendre aussi à l'aise que possible. Je me retourna ensuite pour enlever mon pantalon puis ensuite mes sous vêtements. J'attrappa rapidement une serviette avant de la nouer autour de ma taille, je me retourna ensuite vers Rubis... L'air était chaud et très agréable mais je sentie soudainement un courant froid en promenance de la porte, c'était Laz qui voulait se joindre parmis nous ! Je referma la porte tout en continuant d'observer le chat qui se mit a se frotter en ronronnant sur les jambes de Rubis. Celui ci monta ensuite sur le rebord de la baignoir avant d'entrer doucement dans l'eau relaxante du grand bain parfumé à la rose.. J'expliqua à Rubis en m'asseyant sur le rebord de la baignoire que Laz était un chat bien spécial, et que je vivais avec lui une solide complicité depuis que je suis petite. Je continua à parler en attendant que le bain se remplisse doucement, je lui fit partager mon angoisse par rapport à mes problèmes de loyer que j'avais du mal à payer à cause de mes étude qui coutait suffisament chère et que le petit boulot que je fesait le soir ne suffisait pas à arrondir mes fins de mois.
Le bain était bien rempli, la mousse colorée brillait sous la petite lumière bleu de la salle de bain, l'ambiance était très relaxante et si agréable que je décida d'entrer la première en enlevant progressivement ma serviette. L'eau était bien chaude et les petits remous à tomber par terre. Laz, aussi étrange que soit ce petit animal, s'amusait à plonger la tête avant de la remonter en poussant des petits miaulement semblable à des rires d'enfants. J'invita par la suite Rubis à entrer dans le bain.

"Aller vient ! L'eau est vraiment bonne." Fit je les yeux fermés et avec un sourir détendu.

♠. Je regardais Laz, puis Aya. Ils étaient marrants tous les deux, dans la baignoire. Les doux parfums de la mousse colorée me chatouillait les narines, et soudain je me sentis vraiment détendue et à l'aise dans cet appartement. La chaleur qui émanait de l'eau tiède détendait mes muscles et j'entendis alors Aya me dire quelques mots :

AYA. «Aller vient ! L'eau est vraiment bonne.»

Je ne me fis pas prier deux fois, et j'entrais doucement dans l'eau. Avec mes manières de chats, je rentrai lentement, l'eau ne m'attirant pas vraiment. Une fois dans le bain, je fermais mes yeux quelques instants, n'entendant plus que les quelques bruits discrets que faisait Laz. L'eau me relaxait entièrement, je ne pensais plus à rien et j'en oubliais presque tous les soucis de ma vie. Fini les horribles humains, fini la tristesse. Puis les quelques problèmes qu'Aya m'avait raconté me revinrent en tête et je décidais que je l'aiderai du mieux que je pourrai. Elle avait été si gentille avec moi, moi qui ne pensais plus rien attendre des humains. Je rouvris les yeux, elle était en face de moi. J'esquissais un de mes rares sourires en lui déclarant :

RUBIS. « Merci encore Aya. Sans toi je serai encore seule au fond de ma cage. Je ferai n'importe quoi pour toi car en quelques sortes je te dois la vie. »

♠. Une bulle passa près de mes grands yeux de chat, et je suivis son vol autour de la baignoire. La salle de bain paraissait beaucoup plus grande vu du bain, et la lumière se mariait parfaitement avec les tons des meubles. Mais soudainement, je me rappelais que j'avais laissé quelques choses dans mes vêtements. Enfin.. je croyais. Je ne pourrai pas supporter de l'avoir perdu. En m'excusant au près d'Aya, je ressortis de la baignoire pour me diriger près du petit tas que constituait mes affaires. Je cherchais rapidement... et je le trouvais enfin. Fermant les yeux, mon coeur se remit à battre normalement. C'était une perle nacrée qui m'avait été offerte depuis longtemps. Fixant le bijou à mon cou, je revins finalement vers la baignoire en marchant prudemment vers ma destination. Mais arrivée devant le bain, je glissais sans pouvoir me rattraper. Éclaboussant un peu d'eau partout en retombant dans l'eau. Rouge, je m'excusais rapidement au près de ma maîtresse: j'avais faillis lui retomber dessus. Honteuse, je me mis dans un coin de la baignoire.

RUBIS. « Vraiment Désolée.»

Invité

Les remerciments de Rubis me paraissait être trop. Je n'étais guère un ange mais sans être pour autant cruel, et entendre ça me m'était mal à l'aise, à près tout, se que j'ai fait pour Rubis était normal, tout le monde l'aurait fait à ma place ! Enfin, peut être pas..
Puis Rubis sortie du bain, me sortant de mes pensées, elle alla auprès de ces vêtements pour faire je ne sait quoi avant de revenir avec un collier autour du coup. Mais un mouvement rapide et inatendue de Rubis me fit prendre peur, mais heureusement rien de grave autant pour elle que pour moi. C'est alors que je recommença à fixer le collier mais la Néko me tourna presque le dos dans un coin de la baignoire à mon plus grand regret, et, bien motivée à savoir d'où sortait cette fameuse chose autour de son cou, je m'approcha de Rubis doucement en lui relevant la tête avec ma main.

"Fait moi voir.." Fit je doucement avec curiosité.

C'était une perle. Couleur un peut laiteuse et particulièrement lisse et brillante. Je complimenta Rubis sur la beauté du bijoux avant de lui demander d'où il provenait. Mais mon portable ne lui laissa pas le temps d'une réponse car mon portable qui reposait sur le rebord de la baignoir se mit à vibrer brullament. Je Rubis à mon tour de cette interuption puis je décrocha rapidement. C'était Matthieu, mon collègue de travail. Je me mis immédiatement à rougir. Il m'expliqua calmement qu'il a eu mon numéros grâce à notre patron commun, il continua en me disant que le salon ne pourrait plus ouvrir d'ici demain à cause du patissier qui aurait démissionner hier. Je me mis à paniquer. Ce travail était imporant pour moi, si je le perdais, non seulement je ne pourrais pas garder mon loyer mais surtout je pourrais faire une croix sur mes étude.. Or je suis déjà serveuse au salon, et malgré mes compétense en matière de patisserie, je ne peut pas être à la fois serveuse et patissière, le travaille serait trop important pour moi. Matthieu m'expliqua alors qu'il avait vraiment besoin de moi pour trouver une solution. Je me remis à rougir de plus bel en relevant la tête vers Rubis. C'est alors qu'une idée me vint immédiatement.

(A Matthieu) Attend Matthieu, j'ai peut être une idée.. Ne quitte pas.
(A Rubis) Rubis, j'ai vraiment besoin de toi, il manque le patissier au salon où je travail. Je suis serveuse mais je peut le remplacer, or il nous manquera toujours une serveuse, est ce que tu accepterais par hasard de travailler en tant que serveuse ? Fit je en lui tendant un sourir pour l'implorer d'accepter.

♠. Ce coup de fil m'avait vraiment sauvé la vie : il n'y avait que 2 personnes au monde qui auraient pu expliquer la provenance de mon bijou, et je n'étais pas du genre à confier ce lourd secret à toutes les oreilles. Un jour peu être... en cas d'extrême nécessité, pas autrement. Secouant la tête, je priais pour que ce jour n'arrive jamais, cela serait vraiment horrible. J'écoutais d'une oreille distraite la conversation de ma maîtresse jusqu'a ce qu'elle m'adresse la parole :

AYA. « Rubis, j'ai vraiment besoin de toi, il manque le patissier au salon où je travail. Je suis serveuse mais je peut le remplacer, or il nous manquera toujours une serveuse, est ce que tu accepterais par hasard de travailler en tant que serveuse ? »

La proposition était un peu brusque et je n'étais pas vraiment préparée. Je mis un peu de temps avant d'hocher positivement la tête pour accepter, même si je n'avais pas tout à fait saisit la proposition.

RUBIS. « Oui bien sûr sans problème. »

♠. Cette interruption avait refermé mon esprit, je repris mon visage aussi lisse qu'avant. Non, personne ne pourrai jamais lire en moi. J'attendis patiemment qu'elle finisse son appel et j'en profitais pour me laver lentement. Bien qu'à l'animalerie nous puissions nous laver, l'eau était encore plus sale que nous et d'une froideur extrême. Une sale boue glacée. Quand j'eu fini de me savonner, je sortis vite fait de la baignoire, et je repris mes affaires. Je pris moi même l'autorisation d'ouvrir le robinet et de faire couler un mince filet d'eau. Une fois l'évier remplit, je disposais mes vêtements à l'intérieur, histoire de les laver un peu. Cependant il faudrait que je demande de nouvelles affaires juste le temps que les miennes sèches. Je gagnerai de l'argent pour m'en racheter après. Je refermais la vanne du robinet et je retournais près d'Aya qui venait à l'instant de raccrocher son téléphone en le posant encore près de la baignoire. Je m'avançais, toujours aussi prudemment, pour lui faire part de ma requête et des mes questions.

RUBIS. « Tu m'avais proposé de prendre des affaires à toi, je pourrai aller en prendre de nouvelles s'il te plaît ? Et explique moi aussi cette histoire de serveuse, je n'ai pas eu trop le temps de bien comprendre dans la baignoire, j'avais l'esprit un peu embrumé, mais c'est beaucoup mieux maintenant. »